Le monde comme école de cuisine

Avant d’être un chef traiteur installé dans les montagnes suisses, Thibaut, alias Thi-Bon, a été un voyageur du goût.

Il a taillé sa route entre Montréal, Dublin, l’Australie (de Noosa à Margaret River), la Nouvelle-Zélande (Raglan, Wanaka), jusqu’à Hokkaido, au nord du Japon.

Partout, il a travaillé dans des cuisines qui transpirent le réel  celles où l’on apprend la précision, la patience et le respect du produit.

Ces expériences ont forgé un chef sans frontières, curieux de tout et enfermé dans aucune école.

Thi-Bon n’a pas de dogme : il cuisine selon la météo, la saison, et surtout selon les gens qu’il rencontre.

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Retour aux sources : la montagne comme terrain de jeu

Aujourd’hui, Thi-Bon sillonne les montagnes de Romandie, les Préalpes, les vallées du Val d’Hérens, du Val de Bagnes, de Crans-Montana ou encore les Portes du Soleil.

Il cuisine là où il vit, là où il passe  parfois dans un chalet isolé, parfois dans une cuisine de fête.

Son approche : une cuisine raisonnée, nourrie par les producteurs qu’il connaît, les plantes qu’il cueille lui-même et les idées ramenées de ses voyages.

Son travail, c’est une conversation entre terroirs : un produit suisse qui rencontre une technique japonaise, un assaisonnement d’Australie, ou une douceur canadienne.

Chaque plat est une carte postale vivante.

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Un chef à l’écoute et les mains dans la terre

Thi-Bon ne se contente pas de cuisiner : il observe, récolte, adapte.

Il connaît les collines où poussent ses herbes aromatiques, il échange avec les producteurs avant de composer un menu.

Sa cuisine parle de rencontres, de paysages, de gestes simples.

Rien n’est figé  comme ses voyages, elle évolue au gré des saisons et des envies.

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Une aventure partagée avec Forkmind Lab

Thi-Bon fait partie de ces artisans que Forkmind Lab aime accompagner :

authentiques, exigeants, un peu rebelles  mais profondément humains.

Ensemble, nous avons imaginé un site qui lui ressemble : clair, vivant, sans fioritures.

Un espace où l’on retrouve sa philosophie :

“Bien manger, c’est d’abord bien comprendre d’où vient ce qu’on cuisine.”

Le digital devient ici une boussole, pas une vitrine : il aide à relier un chef nomade à ceux qui cherchent une cuisine sincère.

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Thi-Bon, l’artisan du mouvement

On pourrait dire que Thi-Bon ne tient pas en place.

Mais c’est justement cette mobilité qui nourrit son art : il avance, observe, adapte, partage.

Cet hiver, il repartira sur les routes de montagne des vallées valaisannes aux alpages vaudois, avec ses couteaux, ses idées, et une envie simple :

faire du bon, partout.

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